Les maisons à colombages de la Grande-Rue datent principalement de cette époque.
Les maîtres verriers de Troyes mettent tout leur savoir faire reconnu dans l'élaboration des grandes verrières sud, en 1500.
En 1510, Louis XII accorde la création de trois foires et d'un marché.
Tristan de Salazar
fait édifier une chapelle à la mémoire de ses parents en 1514 ; il fera
la même chose pour l'Hôtel de Sens à Paris. L'oeuvre est un mélange de
gothique flamboyant et de style renaissance. Faute de place, elle est
située entre 2 pilliers de la cathédrale. Cette réalisation de
Guillaume Chaleveau est composée de la statue de la Vierge à l'enfant.
L'ensemble est bénie en 1516. A l'époque la cathédrale est "triple". On
y trouve donc 3 scupltures de Saint-Etienne, Saint Jean Baptiste -volée
et remplacée part Saint-Savinien- et donc, Notre-Dame. En face se
trouvaient 2 statues représentant les parents de l'archevêque. Celle du
père a été décapitée, celle de la mère a disparue à la révolution.
1519, Création de l'aile François 1er de la cathédrale grace à Etienne Poncher, chancelier de France et archevêque de Sens nommé par le roi, au grand désespoir des chanoines du diocèse.
Le chanoine Fritard donne beaucoup d'argent pour l'aménagement
intérieur de la cathédrale et fait réaliser la chapelle Notre Dame
Laurette en 1530, avec un vitrail peut être attribué à Jean-Cousin.
L'archevêque Duprat,
chancelier de France, fait achever la tour sud et son campanille en
1532. Ce prélat qui était très ambitieux et qui convoitait le trône
pontifical, découvre la ville seulement au moment de ses obsèques en
1535. Le bas relief de son tombeau est attribué à Pierre Bontemps.
1537, Philippe Hodoard
réalise le Collège de Sens. Réalisation dans la même période des
maisons d'Abraham et du pilier. A cette époque il existe de nombreux
marchés dans la cité et aussi en dehors des fortifications : marché aux
porcs, place du samedi...
Avril 1539, François 1er est descendu avec toute sa cour à l'abbaye de
Vauluisant pour des parties de chasse. Sens le reçoit à cette occasion.
Des festivités sont faites en son honneur, avec des joutes dans une rue
mi-pavée. Les décors ont été réalisés par les Jean Cousin, père et
fils. Le roi assiste même à un procès avec l'une exécution d'un
criminel.
Jean Pagnard, qui avait volé un ciboire en vermeil dans la cathédrale,
est brulé sur le parvis de la cathédrale en septembre 1541.
Le cardinal Louis Bourbon de Vendôme, cousin de François 1er, fait construire l'aile Henri II dans les années 1550.
En 1560, les 2 bourdons de la tour sud de la cathédrale sont fondus : 16 et 14 tonnes battant ainsi un reccord
pour longtemps.
Durant les guerres de religion,
Sens est particulièrement agitée. Le massacre de Wassy déclenche une première "Saint Barthélémy" dans plusieurs villes de France dont Sens fait partie. En 1562, les protestants se
réunissent dans la toute nouvelle halle aux prêches, faubourg Saint
Pregts. Cette inauguration attise encore plus la haine à leur encontre.
Certains protestants sont massacrés et jetés par dessus le pont de l'île d'Yonne, en avril de la même année. Le temple est brûlé. Charles IX commence
son tour
de France royal, en passant par Sens, pour appaiser les tensions dans tout le royaume. Il arrive le 15 mars 1563, accompagné de la Cour et des Grands du
royaume : son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux
de Bourbon et de Lorraine.
Louis 1er de Bourbon Condé
converti au protestentisme et en butte contre le roi, vient s'installer
au château de Vallery auprès la veuve du maréchal Saint-André, après
avoir tué ce dernier lors d'une bataille.
1567, les renforts catholiques conséquents protègent la ville. Cette année là, Nicolas Durand de Villegagnon est alors le gouverneur de la ville.
Faute de pouvoir pénétrer dans la cité, les troupes protestantes pillent les alentours.
C'est à cette époque que les faubourgs de la ville sont rasés à l'explosif
pour avoir une meilleure visibilité à partir des murailles.
Henri III succède à sont frère Charles IX. Leur frère cadet, le duc d'Alencon
dit "Monsieur", s'allie aux chefs protestants et met au point à Etigny
un édit de pacification, pour mettre fin aux hostilités (1576). Mais
pour beaucoup de catholiques, il s'agit d'une forme de capitulation.
Aussi, quand Catherine de Medicis vient à Sens, les chanoines refusent de célébrer l'événement. Cela se passe alors au couvent des Cordeliers.
Henri III ne peut avoir d'enfant et le duc d'Alencon dit "Monsieur"
meurt en 1584. Ainsi la branche des Valois ne peut être pérennisée.
C'est donc à Henri de Navarre (futur Henri IV) que reviendra la
succession. Mais comme ce dernier est protestant. Henri de Guise espère donc récupérer la couronne en chassant l'hérétique en rassemblant les catholiques dans la Ligue.
C'est la guerre entre les 3 Henri. Lorsque Henri de Guise meurt sous
les poignards gascons, les catholiques se lèvent, Paris s'insurge et
Sens aussi.
Henri III s'allie à Henri de Navarre pour reconquérir le pays et la guerre civile gagne le pays.
En 1583
et 1586, la peste apparaît à Sens et fait de nombreuses victimes.
20 janvier 1589, alors que le duc de Mayenne
(frère d'Henri de Guise)
organise un banquet de la ligue la maison (ancien Croix Rouge) qui
héberge l'événement s'effondre. Le duc fait partie des rescapés.
Le 1er août 1589, le moine Jacques Clément
demande audiance au roi Henri III et l'assassine. Henri de Navarre
devient donc Henri IV. Mais les catholiques et Sens ne reconnaissent
que Charles X de Bourbon, l'oncle de d'Henri IV. Ce dernier s'empresse de l'arrêter.
Le 1er mai 1590, Henri IV assiège la ville sans succès.
Tentant de s'infiltrer par une brèche, il est reçu par le feu nourrit
de sabotiers. A cette époque, Sens est toujours très catholique ; c'est
un des foyers de la ligue et elle ne reconnaît pas ce roi protestant.
En 1594, les portes de la ville lui seront ouvertes une fois sa
conversion au catholicisme faite et à condition que l'édit de Nantes ne
soit pas appliqué afin que cette ville reste une place forte catholique.
Le 22 mars 1594, l'archevêque de Sens, Nicolas de Pellevé, meurt de
rage à l'Hôtel de Sens, à cause du simple fait de voir Henri IV entrer
dans Paris...
Henri IV nomme alors Raignaut de Beaune puis
Jacques Davy du Perron
à la tête de notre archevêché. Ce dernier s'était rendu à Rome pour
rassurer le pape sur les doutes qu'il avait au sujet de la sincérité de
la conversion du roi.
La guerre civile aura laissé
des séquelles dans la région. Après Jacques Davy du Perron succède son
frère Jean. A la mort de ce dernier en 1622, l'archevêché sera démembré
pour créer celui de Paris. Sens perd alors son plus prestigieux
paroissien, le roi.
D'une certaine manière, on peut dire que la dislocation de l'archevêché marque l'apogée de l'histoire de la citée.
Richelieu ordonne l'élévation du tombeau des frères Perron dans la cathédrale.
17ème siècle
Ce siècle est marqué par le retour du mysticisme. Depuis la fracture, l'archevêque et plus présent à Sens. On restaure aussi les anciens couvents.
En 1631, Richelieu, Louis XIII, Anne d'Autriche passe par Sens : ils poursuivent et Gaston d'Orléans (frère du roi) suite à un complot avorté. Ils s'arrêtent brièvement à Paron chez l'ancienne nourrice du roi, madame de Jorron.
Une salve d'artillerie est tirée sur la place Saint-Etienne à l'occasion de la naissance de Louis XIV. Cela cause quelques dégâts dans le quartier.
Passage du jeune Louis XIV à Sens le 8 et 9 mars 1650, accompagné de la Reine mère Anne d'Autriche et de Mazarin, alors qu'ils se rendaient à Dijon pour apaiser la fronde.
La même année, le graveur Mérian réalise une vue générale de Sens pour son ouvrage sur les villes de France.
Juillet 1680, légère secousse tellurique.
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18ème siècle
Construction des écuries, batiment retour du palais synodale, oeuvre de l'architecte Claude-Louis d'Aviler.
En 1737, dans la nuit du 25 au 26 septembre, 2 voleurs de 19 et 22 ans s'introduisent par effraction dans l'église Saint-Maurice. Ils dérobent les vases sacrés et les emportent au bout du faubourg de l'Yonne, les brisent sur place, renverse l'huile sainte, ouvrent l'ostensoir et mangent les hosties.
Ils furent arrêtés un mois plus tard. Ils reconnaissent les faits, ainsi que d'autres vols dans les églises de Saint-Martin du tertre, Maillot, Armeau. Ils seront alors jugés coupables le 9 novembre et exécutés le même jour. Ils auront le poing droit tranché avant d'être ensuite brûlés vifs sur le lieu même du "parc
de la Croix des Brûlés" ( entre le boulevard de la Convention et la rue Cécile-de-Marsangy).
Leurs cendres sont jetées au vent. Une croix fut érigée sur le site durant des années.
Réalisation de la grande porte du choeur de la cathédrale en 1762.
Oeuvre du ferronier Guillaume Doré faite à la demande du cardinal de
Luynes. Restaurée en 1946
En 1765 et 1767, l'inhumation du Dauphin, fils de Louis XV, et de la Dauphine.
Ils sont les parents des trois derniers rois de France : Louis XVI, Louis XVIII, Charles X.
1777, le Comte de provence (futur Louis XVIII, pendant les 100 jours) passe à Sens pour ce receuillir sur la tombe de ses parents.
La porte Dauphine est réalisée la même année par Charles-Axel Guillaumot.
Mai 1779, crue de l'Yonne.
En 1787, l'axe nord-sud est percé
de part en part, emputant au passage le cloitre : c'est la rue de la
République. Les constructions visibles encore aujourd'hui datent
principalement de cette époque (18ème et 19ème siècles).
A la Révolution, le grand portail de la cathédrale est mutilé le 7
novembre 1793 par les Marseillais, l'abbaye Saint-Pierre le Vif est
saccagée, etc.
19ème siècle
Février 1814 : les troupes de Wurtemberg assiègent Sens, alors défendue par le général Jacques Alexandre François Allix de Vaux.
Après douze jours d'attaques successives, et quarante heures de
bombardement, les troupes Wustembergeoises pénètrent dans la ville par
la poterne du collège Mallarmé le 11 février.
Sens tombe ainsi au pouvoir des coalisés. Les cosaques bivouaquent dans
la cathédrale. Furieux d'avoir perdu tant de braves aux portes d'une
ville dépourvue de fortifications régulières, ils pillent la ville
avant de partir le 19 mars.
1825, Charles X passe à Sens pour se recueillir sur la tombe de ses
parents, le Dauphin et la Dauphine. A cette occasion, il laisse son
manteau royal pour endeuiller et recouvrir le mausolée à l'occasion de
chaque messe rendue en leur hommage.
1833, création de l'amicale des anciens élèves du lycée de Sens.
Passage de Victor Hugo à Sens en 1839.
Une grande partie des murailles sont détruites au 19ème siècle, pour laisser la place à des habitations bourgeoises. Les pierres qui sont issues de ce démentellement sont revendues par les carriers et sont destinées à la construction de maisons sénonaises. La création de la Société Archéologique Sénonaise en 1844 (CEREP) a permis de sauver quelques pierres sculptées datant de l'époque romaine, qui ont été utilisées dans l'ancien ouvrage défensif.
Le 8 septembre 1849, inauguration de la gare P.L.M. (Paris-Lyon-Marseille) de Sens,
par Louis-Napoléon Bonaparte et M. Pignon, maire de la ville. Ce
nouveau type de transport sonna le glas des activités fluviales sur
l'Yonne.
1870, création de l'entreprise "Les moulins Dumée"
.
1870-1871, la ville est occupée par les Prussiens.
1876, création de l'Avenue Vauban pour permettre l'accès direct à la gare.
1880, construction du pont de chemin de fer.
1883, école Sainte-Paule fondée, rue Abélard.
1888, destruction de la porte Dauphine pour laisser plus de place au trafic.
1892, l'ile Kley est rasée et draguée, alors que l'ile d'Yonne est remodelée (ilots assemblés) et la digue qui fermait l'entrée de la fausse rivière est supprimée.
1898, exposition industrielle.
20ème siècle
1902, inauguration de la Caisse d'Epargne actuelle. Elle était auparavant située dans l'Hôtel de Ville (rue Rigault), puis rue Jean-Cousin (actuel musée).
1904, démolition et reconstruction du faubourg de l'Yonne (ile) pour moderniser et élargir la voie (avenue Lucien Cornet).
Janvier 1910, l'Yonne est en crue pendant 19 jours. C'est le
niveau le plus fort jamais enregistré à Sens : 4,44 mètres.
1911-1912, remplacement du vieux pont en dos d'âne, côté église
Saint-Maurice. La construction de ce nouveau pont, a été dirigée par
l'ingénieur Lejeune et l'entrepreneur Marginier. Il a été livré à la
circulation le 1èr décembre 1912 et inauguré le 18 mai 1913.
A partir de 1914, la ville accueille beaucoup de réfugiés qui fuient
les combats.
C'est aussi une "ville hôpital" :
- hôpital auxiliaire du territoire n°105 dans les locaux occupés par l'orphelinat Bellocier, rue de l'ile d'Yonne (actuelle crèche Saint Maurice),
- hôpital auxiliaire du territoire n°16 dans les murs de l'école Thénard (établissement connu avant sous le nom de Frères des Ecoles Chrétiennes ; aujourd'hui : ???), 174 grande rue (actuelle rue des Déportés de la Résistance),
- hôpital auxiliaire du territoire n°31 dans l'ancien grand Séminaire (collège Montpezat), 131 grande rue (actuelle rue des Déportés de la Résistance),
- hôpital auxiliaire du territoire n°25 dans l'école Saint-Edmée (école Saint-Etienne), 200 grande rue (actuelle rue des Déportés de la Résistance),
- hôpital auxiliaire du territoire n°89 et 289 dans la caserne Gémeau (école de police),
ôpital auxiliaire du territoire n°168 et 368 dans l'ancien Archevêché.
Près de 600 bléssés et malades furent soignés pendant la 1ère guerre mondiale.
Quelques usines menacées y
sont aussi transférées (Pont-à-Mousson).
30 mai 1916, accident de chemin de fer : un train de marchandises entre en collision avec 3 machines stationnant sur la voie. 6 blessés et 1 mort. 18000 litres de vin perdus.
1923, crue de l'Yonne (3,73m).
1937-1938, accueil de réfugiés espagnols, essentiellement basques et républicains, à Sens.
Le 8 juin 1940, un bombardement touche la gare de Sens, faisant 14
morts, de nombreux blessés. Les dégâts aux installations ferroviaires
et aux quartiers voisins sont très importants .
Le samedi 15 juin 1940, l'armée allemande s'empare de Sens, après
quelques combats. Des centaines de réfugiés traversent le département,
fuyant devant l'avancée de l'armée ennemie.
Avant la guerre, beaucoup de Russes ayant fui la révolution bolchevique
travaillaient à l'usine Pont-à-Mousson, à Saint-Denis-lès-Sens. Sur le
site, il y avait d'ailleurs une église orthodoxe (au niveau de la
Poste) et un camp avec des baraques pour les travailleurs étrangers de
l'usine.
Ce camp est réquisitionné en 1940 par le sous-préfet pour être
transformé en « centre de séjour surveillé », c'est à dire un
camp d'internement pour les étrangers. Plusieurs rafles ont lieu. La première, le
10 juillet 1942 a concerné les Juifs étrangers adultes. Celle du
8 octobre 1942, les enfants. Les Juifs français n'ont été
interpellés qu'à partir des 24 et 25 février 1944. Presque tous
ont transité par le camp de Drancy, les autres via le camp de
rassemblement de Pithiviers. Ils ont terminé leur route à Auschwitz,
sauf trois d'entre eux exterminés à Sobibor. (Sources Arory)
1943, passage à Sens d'embarcations de
la Kriegsmarine, à destination de la méditéranée.
Juin 1944, Sens subit plusieurs bombardements américains. Après une
1ère tentative de bombardement du pont de chemin de fer par les avions
anglais, le tablier qui a été touché est vite réparé par le Génie
allemand. Quelques jours plus tard, le pont est définitivement détruit
après le passage successif de 3 vagues de forteresses volantes
américaines. Au même moment des usines sont détruites, le dépôt
de pétrole est en feu, le grand séminaire qui abritait un état major
est touché faisant plus de 100 morts.
Les Allemands
se préparent à quitter la ville en se camouflant sous les arbres des promenades.
Le 21 août 1944, Sens est libéré par la 3ème armée du général Patton.
Les ponts de l'île restent intacts malgré les emplacements prévus pour
les faire sautés à l'explosif. Les troupes américaines arrivent par le
chemin neuf et envoient en reconnaissance un char de chaque côté des
promenades. Il y a quelques escarmouches faisant plusieurs morts, mais
le gros des troupes allemandes a déjà quitté la ville.
La 80ème Division d’Infanterie US installe son QG à Sens du 24 au 28 août 1944.
Durant plusieurs mois la ville
est traversées par les convois alliés qui vont rejoindre le front de l'est.
Avril 1955, crue de l'Yonne (3,52m).
Création du district urbain de l'agglomération de Sens le 16 juillet
1962. Depuis transformé en Communauté de Communes du Sénonais, au
nombre de 9 ce qui représente 42.000 habitants.
16 avril
1959, visite du Général de Gaule à Sens.
1968-1969, construction du pont neuf. Inauguré le 30 avril 1969, par Jean Chamant,
ancien président du conseil général et ministre des transports, Gaston
Perrot, maire de Sens et Roger Treillé, président du District urbain.
L'origine de ce pont est étroitement liée à la zone des Sablons qu'il
fallait absolument désengorger car à l'époque, il n'y avait que les
vieux ponts de Sens et Pont sur Yonne pour traverser l'Yonne.
Fin des années 60 : arrivée des Juifs d'Afrique du nord.
Réalisation du village des Charmilles, en 1973, sous l'impulsion de Roger Treillé.
1987, visite du mausolée du Dauphin et de la Dauphine par d'Alphonse de Bourbon, duc d'Anjou, alors prétendant à la couronne de France sous le nom d'Alphonse II.
Avril 1998, crue de l'Yonne (2,65m)
21ème siècle
2001, crue de l'Yonne.
2006, crue de l'Yonne (2,33m).
2006-2012, Restauration de la tour sud de la Cathédrale. Plus haut échafaudage de France (74m).
2011, renforcement et réfection du pont neuf afin de continuer à supporter le passage quotidien de 12.000 véhicules.
2012, début restauration de la toiture du palais Synodal.
Juillet 2013,
début de reconstruction et d'automatisation du barrage Saint-Bond. Rive droite, jusqu’au 31 octobre. La deuxième phase du chantier est prévue en 2014.
Créé le 12-04-2011 Modifié le 05/08/2013 - 19:22
Notes et références : Article rédigé par l'association SenoN.Org - http://www.senon.org
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